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 Georges de Sommest ▬ « A good day is any day that you're alive »

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AuteurMessage
Georges de Sommest
...
Georges de Sommest

Georges de Sommest ▬  « A good day is any day that you're alive » Empty
MessageSujet: Georges de Sommest ▬ « A good day is any day that you're alive »   Georges de Sommest ▬  « A good day is any day that you're alive » EmptyJeu 5 Aoû - 13:47



« And when you get the choice
To sit it out or dance,

I hope you dance. »
Nom : de Sommest.
Prénom : Georges, Frédéric, Roland.
Surnom : Mister Sexy (non)
Sexe :
Âge : 22 ans.
Date de naissance : 17/01/1792, Bath, Angleterre.
Orientation sexuelle : Bisexuel.
Nationalité : Français.
Pouvoir : Transformer tout liquide en boisson de son choix. L'eau en vin, le vin en eau, les mojitos en café, etc. (mais il ne change pas tout ce qu'il peut y avoir AVEC le liquide, donc tu as des feuilles de menthe dans ton café et il faut faire avec).
A noter qu'il ne peut pas invoquer une boisson qu'il n'a pas goûté lui-même. Il faut qu'il ait un minimum le goût en tête.
AEA : Shakespeare, une pie qui fait tous les tiroirs et rapporte ses trouvailles
à Georges. (il est désolé, il rend tout)
Physique



• Georges est un grand gaillard qui respire la santé – et la force.
• 1m84, musclé, des épaules larges, une poigne ferme, il s’en dégage une impression de force vive. Pas tranquille, mais presque.
• Il ne tient pas en place, il a toujours besoin de bouger, parler, remuer une partie quelconque de son corps ; il a vite des fourmis dans les muscles et sa langue ne fait pas exception.
• Donc tranquille, non. Mais il n’est pas brusque et violent et ça se voit aussi, alors il ne fait pas peur.
• Georges a l’air gentil. Aimable. Bon vivant. Il a toujours un grand sourire en travers de la figure, et le rire facile.
• Sa voix grave est aussi amène que le reste de son visage, et son corps est là pour achever de le rendre expressif à l’extrême et facile à lire.
• Quand on ne sait pas faire semblant, et que tout transparaît sur le visage et dans les gestes, la joie comme la tristesse…
• On n’est pas bon acteur, forcément.
• Ses yeux bleus pétillent à la moindre occasion.
• Du reste, son visage n’a rien d’exceptionnel. Il n’est ni beau, ni laid.
• Charmant, oui ; sans être charismatique, il a un petit quelque chose qui le démarque des autres.
• Un dos droit, une belle stature, un menton haut, une démarche assurée.
• On le voit, on ne peut pas l’ignorer, et il ne vous laissera pas l’ignorer de toute façon.
• Ses cheveux blonds, épais, ne sont jamais correctement coiffés. Il passe ses mains dedans en permanence, inutile d’essayer de le rendre présentable.
• Ca vaut aussi pour ses vêtements. Georges finit toujours débraillé, un vrai cauchemar.
• Il a toujours chaud, aussi, alors il est rare de le trouver avec plus qu’une chemise (à demi ouverte) sur le dos.
• Bref, Georges n’est pas l’homme le plus classe qu’on puisse trouver. Si on ajoute à ça le fait qu’il s’exclame à tort et à travers et babille en permanence…
• Au moins, il est poli. C’est déjà ça de pris.
• Il possède également quelques cicatrices sur la peau, claires et peu visibles, et on le voit rarement sans une éraflure quelconque au quotidien. Il est actif, il aime se dépenser et sauter partout. Ca va avec son lot de chutes et de dérapages.
• Son endurance et son énergie font peur.
• Et il ne prend même pas de café. Tout est naturel.


Caractère



• Georges est exactement à l’intérieur comme il a l’air de l’être à l’extérieur.
• Rieur. Optimiste. Bon vivant. Gentil.
• Certaines personnes sont compliquées et fonctionnent sur dix couches différentes, mais pas lui.
• Il n’est pas stupide, pourtant ; pas intelligent non plus, mais on ne le compte pas parmi les naïfs et les imbéciles.
• Il est juste intense et naturel. Sans filtres, ni masque sur la figure.
• Tout d’abord, Georges est gentil. Foncièrement gentil.
• Il croit en la bonté humaine, que tout le monde sait se montrer serviable et aidera son prochain plutôt que l’enfoncer.
• Que Rousseau avait raison et qu’on ne rencontre pas de mauvaises personnes qui le sont sans raison.
• Il tend la main, rend service, ne refuse jamais de prêter main forte.
• On peut abuser de sa gentillesse, mais tant que ça ne dépasse pas les limites, il ne le prendra pas comme tel.
• Il aime trop aider pour se sentir lésé ; il n’attend pas grand-chose en retour.
• Il ne se laisse pas manipuler pour autant. Il n’a pas été couvé et protégé du moindre mal, il a eu des mauvaises expériences et elles l’ont forgé sans entamer sa joie de vivre et sa bonne humeur.
• Quand il estime que les choses vont trop loin, il tire fermement sur la corde.
• Non, c’est non. Et c’est comme ça.
• Mais pour le braquer, il faut y aller. C’est assez rare de l’entendre se fâcher pour ce genre de raison.
• Il est optimiste, convaincu que tout s’arrange avec du temps et des efforts. Il met la main à la pâte, n’a pas peur des efforts et des chutes.
• S’il tombe, il se relève. Encore et encore.
• Georges n’est pas quelqu’un que l’on mine facilement. Il ne courbe pas le dos.
• Il prend la vie comme elle vient, la croque à pleines dents et profite de tout ce qu’elle veut bien lui offrir.
• Le bien, et le mal, parce qu’on ne vit pas sans déceptions ni chagrins.
• Il le sait. Ne cherche pas à les éviter, ou les ignorer.
• S’il doit pleurer, eh bien il pleurera ; ça ne le tuera pas.
• Ca le rendra plus fort.
• Georges est courageux, rien ne lui fait peur.
• Et à côté de ça, il est aussi très impulsif.
• Tout sort quand ça sort et il n’est pas bon acteur. Il ne peut rien cacher.
• Quand les émotions lui montent à la tête, elles y restent. Si c’est de la joie, tant mieux. Il rit, crie, tournoie bêtement.
• Si c’est de la colère…
• Il explose. Dans ces cas-là, pour peu qu’on lui cherche des noises, il a les poings faciles.
• Il ne frappe jamais le premier, mais n’est jamais le premier à s’arrêter quand on le cherche non plus.
• Il s’en veut toujours, mais il n’empêche que. Ce qui est fait est fait.
• Protecteur, il peut également se montrer agressif si l’on s’en prend aux gens qu’il aime.
Tu ne touches pas à ses amis. A sa famille.
• Et quand les émotions sont trop fortes, et trop personnelles, il peut virer introspectif.
• Une colère rentrée n’est jamais bon signe, chez lui. Ca veut dire qu’elle le touche au cœur, et fort.
• S’il se met à hésiter et contempler le vide, c’est qu’il pense que tout déballer lui ferait du mal, à lui ou aux personnes proches de lui.
• Quand il estime que c’est grave, il se montre prudent.
• Georges sait se taire, quand la situation l’exige.
• Mais la plupart du temps, il reste un jeune homme vif, bruyant, extrêmement sociable et pas réfléchi pour un sou.


Histoire



• Georges naît à Bath, en Angleterre, le 17 Janvier 1792.
• Sa famille est composée de ses parents, qu’il adore, son frère aîné, Frédéric, qu’il adore, et sa petite sœur Éléonore.
• Qu’il adore aussi, mais d’un amour plus vache que les autres. C’est une petite sœur, elle est faite pour être poussée dans les haies et taquinée.
• (essayez de le convaincre du contraire)
• Michel et Marguerite ont fui la France à la veille de la Révolution et se sont installés à Bath avec la famille de monsieur (noble) pour avoir la paix.
• C’est là qu’ils ont élevés leurs trois enfants avec tout l’amour dont leur énorme cœur dispose.
• Ils sont tous les deux fans de leur famille et les câlins ne manquent pas. Ils sont très présents, et veillent attentivement à ce que les petits ne se sentent ni seuls, ni délaissés.
• Surtout Frédéric, mais Georges est trop petit pour comprendre quoi que ce soit et ne remarque rien.
• C’est un petit garçon énergique qui fait la fierté de ses parents, puis leur horreur quand il revient avec le nez en sang parce que lui et le petit Henry d’à-côté se sont fichus dans le caniveau.
• Aaah, la jeunesse. Il court après les chats des voisins en hurlant et terrorise absolument tous les animaux à qui il ne veut pourtant que du bien.
• Sauf la tortue de sa grand-mère. Elle, ça va. Elle devient donc son animal préféré.
• Gros traumatisme dans son enfance, quand même : la mort de son père.
• Michel meurt d’une maladie pulmonaire alors que Georges n’a que huit ans. Ca le marque durablement, et il s’accroche encore plus à sa mère pour compenser.
• Et inversement. Malgré le soutien de la famille de Michel (puisque la sienne est toujours en France), Marguerite reporte toute son affection sur ses enfants et vire un peu étouffante.
• Ils n’ont pas le droit d’être trop loin d’elle, sinon c’est la crise. Elle doit savoir où ils sont, quand, ils ne peuvent pas découcher sous peine de la retrouver morte de chagrin le lendemain, et l’idée de les voir se marier et partir la tient éveillée la nuit.
• Ca s’estompe un peu avec le temps, mais ça reste là quand même.
• Georges est complaisant et aime sa mère, alors ça ne le dérange pas. Il joue dans les limites, et quand il les dépasse, il s’excuse.
• Le petit garçon aventureux devient un adolescent fougueux. Les jeux évoluent un peu (pas entièrement, il est toujours dans le caniveau avec le petit Henry devenu grand). Marguerite angoisse à l’idée qu’il puisse mettre une fille enceinte, et lui fait la leçon chaque jour que Dieu fait.
• Ca ne l’arrête pas, mais grâce à ça, il découvre que les garçons aussi sont charmants.
• Ca réduit par deux le risque de se faire scalper par un père en colère, il trouve ça plutôt cool.
Rendement maximal.
• Bref, la vie est tranquille à Bath. Puis 1809 pointe le bout de son nez.
• Marguerite reçoit une lettre de sa mère, qui l’informe de la mort du fils d’un ami.
• Après moults réflexions et autres facteurs, les Sommest font leurs bagages pour revenir en France.
Définitivement. En tout cas, c’est le plan.

• On ne décapite plus les nobles à Paris, alors il n’y a plus aucune raison de s’en tenir éloignés.
• Georges découvre la France comme un enfant une boutique de bonbons. Il saute partout, sauf à l’enterrement (ça se fait pas).
• Mais APRES ?? Il s’accroche aux enfants des connaissances de sa mère. Parmi ceux de son âge, Joseph de Landerolt et Valentin Horville.
• Joseph est bougon et donc drôle à embêter, comme Éléonore, et Valentin vient de perdre son frère. Le faire penser à autre chose devient une mission quasi divine.
• Au final, c’est lui qui se met à penser à autre chose, mais hof. Il a déjà eu le béguin pour d’autres gens, ça va passer et tout ira bien.
• Quand Joseph repart pour la Bavière et Valentin pour Lyon, Georges se sent terriblement seul à Paris. Pas du genre à tourner en rond (ou pas plus de 5 minutes), il saute dans toutes les fêtes qu’il trouve.
• Même quand il n’est pas invité. C’est comme ça qu’il fait la connaissance d’Annette Sault et Émilie Manteloup.
• Elles sont bonnes et cools. Il les impressionne avec sa descente des enfers et Annette lui fait des clins d’œil pas discrets qu’il lui renvoie. Ils deviennent amants.
• Sa relation avec Émilie reste platonique mais intense. Surtout quand elle lui marche dessus quand il a trop bu.
Il les adore.
• Et puis un jour, Valentin revient à Paris. Ô JOIE. Georges lui saute dessus, et le traine immédiatement dans toutes ses soirées.
• Puisque Valentin partage son goût de la fête, ils deviennent vite inséparables ; avec Émilie, ils forment un trio légendaire.
• Quand Joseph revient, il essaye de l’inclure aussi, mais il est plus réticent.
• Et quand Georges s’aperçoit que Valentin a le béguin pour Joseph, lui aussi il devient réticent à le trainer partout. Juste un peu. C’est à peine visible, mais c’est là.
• Ah bha on est un peu jaloux, hein. Surtout à partir du moment où il pète la figure du frère d’Annette et que ses parents la marient vite fait bien fait et l’envoient en recommandé ailleurs.
• Elle lui manque et avec Valentin et Émilie qui sont devenus amants entre temps, il se sent un peu laissé pour compte.
• Pas trop, pas longtemps, mais voilà.
Sobs.
• Bon je vais passer tous les imbroglios relationnels, tout ce qu’il y a retenir c’est que : Valentin a le béguin pour Joseph qui est fiancé à la sœur d’Émilie mais fréquente la cousine de Georges, Raphaëlle.
• [cf Valentin pour plus de détails, je peux pas tout mettre ici]
• Bref, quand Raphaëlle s’enfuit de chez elle pour se réfugier chez leurs grands-parents, Georges a l’impression de voir 72 Vierges faire la danse du ventre devant lui.
• Elle compte faire quoi, là ? Devenir l’amante de Joseph, énerver les Manteloup, ou.. ?
• Il n’aime pas quand ça touche à sa famille, alors le fait que Joseph trouve apparemment la situation acceptable l’énerve.
• C’est sa cousine, wow. Et il est fiancé à la sœur d’Émilie, il a pas intérêt à faire des bêtises.
• En plus, il rend Valentin triste. Georges a toujours un crush gros comme la tour Eiffel sur lui et ça le fait ramper dans le salon.
• PleAsE SmIlE
• Vu que ses sentiments sont sous clé parce qu’il n’a pas l’impression que dire « jtm » à Valentin soit une bonne idée, il patine comme un crétin quand ce dernier l’embrasse. Ils finissent par régler la situation et finir la soirée dans un lit, mais quand même.
• Georges attend plusieurs jours avant de s’autoriser à se sentir bien et soulagé.
• Il peut tripoter Valentin, maintenant il est encore plus amoureux !!
• (DUMB)
• Et il ne se passe rien d’important. Il arrive sur PI et tada.
• (non, vraiment, tout est chez Valentin, j’ai la flemme de faire une redite)


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