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 Baptiste Tiemoko ▬ « Hungover, heart of gold, holy mess »

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Baptiste Tiemoko
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Baptiste Tiemoko

Baptiste Tiemoko ▬ « Hungover, heart of gold, holy mess »  Empty
MessageSujet: Baptiste Tiemoko ▬ « Hungover, heart of gold, holy mess »    Baptiste Tiemoko ▬ « Hungover, heart of gold, holy mess »  EmptyJeu 16 Avr - 23:25




« Oh, if you couldn't tell,
We can always find the trouble,
We don't need no help.
Singing oh, mama raised me well,
But I don't wanna go to Heaven
Without raising hell. »
Nom : Tiemoko.
Prénom : Baptiste, Marc.
Surnom : Bati.
Sexe :
Âge : 19 ans.
Date de naissance : 20/05/2006, Abidjan, Côte d'Ivoire.
Orientation sexuelle : Homosexuel.
Nationalité : Ivoirien.
Pouvoir : ?? je réfléchis
AEA : Loulou, un single pailleté qui en fout partout où il passe. Âme sensibles s'abstenir.
Physique



• Baptiste est beau. Il le sait, il aime ça, et il préférerait mourir que ressembler à monsieur tout le monde.
• (bon, peut-être pas MOURIR, mais il est prêt à négocier son âme)
• Il aime son visage symétrique et bien dessiné, qui n’est pas spécialement féminin – ça, c’est toujours l’illusion du maquillage. Un joli menton, de belles pommettes, et une peau de laquelle il prend grand soin.
• C’est très sérieux. Il hurle dès qu’un bouton fait mine de s’inviter, il a passé une adolescence exécrable à cause de ça.
• Toutes les crèmes y passent, et même s’il adore se maquiller, il laisse sa peau respirer histoire de ne pas être ridé à 40 ans.
Oh les sacrifices. C’est dur mais ça en vaut la peine.
• Métisse qui n’en a pas l’air, Baptiste n’a pas du tout hérité de la peau blanche de sa mère. De ses frères et sœurs, il est même le plus foncé.
• Et vous savez quoi ? Il aime ça. Les couleurs vives ressortent exceptionnellement bien sur sa peau. Le jaune, le vert, le rose, toutes les couleurs de l’arc-en-ciel…
• Quand il se maquille, Baptiste se maquille. C’est rempli de glitters et ça se voit depuis l’espace.
• A quoi ça sert de se foutre dix mille produits sur la tronche si c’est pour faire genre « je me suis pas maquillé ce matin » ?
• Que dalle. Il traite sa collection de fards à paupière comme ses enfants (ou comme une grand-mère ses caniches).
• Bref, Baptiste fait toujours en sorte d’être au top, que ce soit maquillé et apprêté comme une princesse ou au naturel.
Flawless either way.
• Ses cheveux, c’est pareil. Il est passé par tous les styles existants parce qu’il adore tester des trucs.
• En ce moment, c’est rasé d’un côté et long de l’autre. Très long. Merci les extensions, parce que ses cheveux très bouclés ne poussent 1) pas vite 2) pas long 3) en afro.
• Pour le coup, il remercie pas papa. Il a rien contre les afros, mais c’est pas pour lui.
• Malgré sa contrariété envers ce petit détail, eux aussi sont chouchoutés et en pleine forme.
• Niveau carrure, Baptiste mesure une taille convenable (1m76) et a une silhouette sportive.
• Sans être particulièrement large d’épaules, il n’est pas fin. Il fait du sport et ça se voit.
• Solide, le mec. Il sait se défendre, aussi. C’est important pour lui.
• Ses yeux sont marrons ; ça va sans dire, mais on le dit quand même. Quasi noirs. Il porte parfois des lentilles de couleur, pour le fun.
• Il a les oreilles percées à plusieurs reprises, et un piercing à l'arcade gauche. Pas de tatouages (yet).
• Quant aux vêtements…
• Eh bien c’est la fête, comme pour le maquillage. Baptiste porte beaucoup de couleurs, beaucoup de trucs originaux. C’est comme ça qu’il s’exprime.
• On peinerait à trouver plus d’une tenue dite « convenable » pour un entretien d’embauche dans sa garde-robe. Il a un costume chiant pour les fêtes et les mariages, mais c’est tout.
• Quand la coupe est boring, la couleur ne l’est pas. Il a quelques affaires plus sombres, mais elles seront toujours associées à un truc coloré.
• C’est important la couleur, ok ?
• Pour les chaussures, tout y passe, y compris les talons hauts. S’il a envie de ressembler à une manifestation vivante de la gay pride, il le fait.
• La vie est trop courte pour hésiter.


Caractère



• Baptiste est bavard, et c’est important à préciser, parce que c’est le premier truc qu’on remarque chez lui – et on peut s’en servir comme d’un indicateur à moral bas ou à gros cafard, ce qui n’est pas négligeable.
• Il parle, saute d’un sujet à un autre, avec un débit proportionnel à sa passion pour ledit sujet et la vitesse d’un TGV en ligne droite.
• Il a du mal à laisser la parole aux autres, mais il fait des efforts. Il n’est pas méchant, même pas égoïste, et les remarques le font sourire.
• Il prend en compte, se coud les lèvres pour trois petites minutes, et espère qu’on va apprécier l’effort à sa juste valeur.
• Valeur douteuse, parce que Baptiste fait surtout des efforts quand ça lui plaît, mais.
Tu peux parfaitement la fermer, quand ça t’arrange.
• Baptiste aime qu’on le remarque, qu’on le regarde, et transpire l’assurance qui va avec. Les critiques ? Les regards de travers ? Il rit et les écrase d’un coup de talon. Pas pour lui, ces conneries.
s l a y.
• Il a dû apprendre à s’en détacher tout au long de son enfance, et se tenir droit sans ployer sous le regard des autres, c’est quelque chose dont il est particulièrement fier.
• Il est heureux d’être lui, heureux d’aimer se lever et se regarder dans la glace, alors il en fait profiter le monde entier.
• C’est une pile d’énergie et de rires. Il est optimiste, trouve toujours un bon côté aux choses, et s’il a du mal à s’y tenir, pas graaaaave. Il finira par adhérer.
• Les lunettes roses, la positive attitude, tout ça. Il n’est pas venu ici pour se morfondre ou voir tout en gris.
Boop. Dehors, les haters.
Who cares.
• C’est sa vie, pas la tienne ; sacré motto, quand on sait qu’il rentre en tractopelle dans celle de toute personne à moins d’un kilomètre de lui. Aaah ça oui, on l’entend. On le sent nous rentrer dedans, même, parfois.
• Il a une notion toute relative de l’espace vital d’autrui, et même s’il sait faire semblant d’obéir, il a un côté taquin trop prononcé et un sacré esprit de contradiction qui l’empêchent de s’y tenir.
• Plus on grogne, plus il insiste. Plus on lui dit de dégager, plus il se rapproche. Il ne provoque pas jusqu’à se faire frapper, mais parfois ça ne passe pas très loin.
• Baptiste peut se considérer comme quelqu’un de gentil et tolérant (ce qu’il est, à bien des égards) autant qu’il veut, ça ne l’empêche pas de flirter éhontément avec la méchanceté gratuite – volontairement ou non.
• Ok, les piques n’atteignent pas son ego, trop bien protégé. Mais il arrive que ça frappe une corde sensible par erreur, et là, il peut virer sarcastique. Avec le sourire. Méprisant, toute la clique.
• C’est plutôt rare, parce qu’il faut y aller franchement et savoir viser, mais ça arrive.
• Il arrive aussi à Baptiste d’être triste, en colère, mélancolique, parce qu’il est humain et n’échappe pas aux montagnes russes de l’existence.
• Dans ces cas-là, il la ferme et se met en retrait. S’enferme pour broyer du noir en paix, et tout le monde est tranquille.
• Sauuuf si on le provoque. Quand il est de mauvaise humeur, il part au quart de tour, et sa voix porte.
• Bonjour les regrets après ça – il a un peu de mal à s’excuser, mais il le fait quand même. Il n’est pas très rancunier, il pardonne facilement.
• Pas toujours une bonne chose, mais bon. Tout le monde a le droit à une seconde chance.
• (quand on ne lui en laisse pas, à lui, ça fait sacrément mal)
• (parce que quand il aime, il est blessé et inquiet si vite, c’est pas bon pour son cœur)
• Bref, Baptiste reste quelqu’un de coloré, exubérant, courageux, et vachement imprévisible.
• Quelqu’un qui aime la vie, bouger, les gens, et essayer des nouveaux trucs chaque jour.
Faut pas avoir peur ou rester dans sa petite zone de confort, chéri.
• Faut partir à l’a v e n t u  r e, et jamais se laisser faire.


Histoire



« And I won't waste my life being typical
I'ma be original,
Even when it's difficult
And I won't change myself when they tell me no,
I'ma be original. »

Sia, Original



• Baptiste naît le 20 Mai 2006 à Abidjan, en Côte d’ivoire.
• C’est un très beau bébé qui pousse son premier cri dans une très belle maternité. Sa famille est riche, ses parents dirigent leur propre société, et on lui colle la cuillère en or dans la bouche dès les premières secondes de son existence.
• La misère, le manque d’argent, de nourriture ? Baptiste ne connaîtra jamais ça (oui, je spoil honteusement). Il grandit dans la villa familiale, avec pour seul soucis ce qu’on va lui offrir à Noël (si c’est pas ce qu’il a demandé, il pleure).
• Papa et maman sont attentifs, aimants, et font de leur mieux pour être aussi présents que possible. Obligations obligent, ils le sont moins que le gamin de huit ans en manque d’attention aimerait, mais vraiment pas de quoi se plaindre.
• Ils s’intéressent à ses amis, sa vie, pas juste à ses notes. Et puisque Baptiste est le petit dernier, ils font aussi preuve d’une faiblesse flagrante que leurs aînés ne leur pardonnent pas.
• En 2006, il y a déjà Magali, neuf ans, et Fabien, six ans. Ils voient le petit frère bien plus jeune qu’eux s’imposer en mini centre du monde avec un dédain évident.
• Déjà, Magali n’aime pas les bébés et ne voulait pas d’un autre petit frère (ou d’une autre petite sœur, pas de préférence). Elle refuse de le tenir, le bercer, lui donner le biberon, et les couches on n’en parle pas. Quant à Fabien, il n’aime pas la compagnie, encore moins celle des nourrissons bruyants.
• Les relations entre les frères et la sœur, qui partaient déjà mal de base, s’empirent avec le temps.
• Au faible pas éhonté mais difficilement dissimulable de Valérie et Amédée pour Baptiste s’ajoutent les personnalités diamétralement opposées et les centres d’intérêt comme autant de gouffres entre eux.
• Et quand ils se trouvent des points communs, c’est l’amour du benjamin pour le maquillage de sa sœur aînée.
• Magali ne trouve pas drôle DU TOUT que le petit frère enquiquinant se tartine son rouge à lèvres sur la figure. Elle l’a payée elle-même, merde quoi, elle fait pas du baby-sitting pour nourrir les vices du moutard.
• Et comme ça fait rire ses parents plus qu’autre chose, elle fait une véritable fixette là-dessus. Elle enferme sa trousse à maquillage à clé et le traite de dégénéré histoire qu’il se sente mal mais surtout pour qu’il arrête de vouloir y toucher.
• C’est un détail qui aura son importance plus loin dans l’histoire, mais continuons.

• Baptiste, qui est un enfant plein de vie, a beaucoup d’amis à l’école (où il s’ennuie).
• Mais son meilleur ami, celui qui compte le plus, son BFF for life, c’est Samuel.
• Samuel, c’est le fils d’amis de la famille. Ils se connaissent depuis toujours. Avant même d’avoir eu toutes leurs dents ou d’avoir pu tenir des propos à peu près cohérents.
• Ils sont frères, presque. Baptiste reporte sur lui tout son besoin de complicité fraternelle.
• Et ce besoin se traduit en bêtises à la chaîne – jamais très graves, jamais assez pour mériter plus que quelques réprimandes et des visites au coin sans dessert.
• Ils ne sont pas du genre à se mettre en danger, juste du genre infatigables et insupportables.
• Ils terrorisent les chats des voisins et se mettent toute personne de plus de 60 ans dans le périmètre à dos.
• Ou juste ceux qui aiment le silence. Bref, une enfance normale.
• Et leur amitié dure ! Certaines se brisent au collège, au lycée, on se perd de vue ou on change de cercle d’amis ; pas eux.
• De leurs premières compotes au jour où ils terminent officiellement le lycée, ils restent collés à la hanche.
• Un petit miracle qu’ils chérissent, parce que vu le parcours scolaire et personnel de Baptiste, ça aurait très bien pu exploser – et salement.

• Baptiste se rend compte qu’il préfère les garçons très tôt. A 8 ans, même sans avoir la notion d’homosexualité, il sait qu’il préférerait tenir la main de ses amis plutôt que de ses amies.
• Vu que c’est un gamin et qu’il ne le répète pas toutes les cinq minutes et à qui veut l’entendre, on trouve ça bizarre mais mignon. Une phase. Ca n’inquiète pas plus que ça.
• Pareil pour le maquillage, hein – s’il veut se mettre du rouge à lèvres à 7 ans, c’est pour faire comme maman ou comme sa grande sœur. Pas pour une autre raison.
• Maiiiis quand on a 13 ans et qu’on a toujours envie de tenir la main des garçons et de se maquiller, ça devient gênant.
• Baptiste a beau être très extraverti et exubérant, il sait aussi que s’il se met à faire les yeux doux à tel ou tel garçon et porter du fard à paupières, ça va être le banc des rebus et le regard de jugement de sa famille. Et ça…
• Ben il est pas prêt à le vivre. Non merci.
• S’en suit une période durant laquelle il alterne entre essayer de se persuader qu’il est très viril et hétéro, et être celui qu’il est. Mais en cachette.
• Il a une palette de maquillage cachée dans son armoire. Il soupire de ne pas pouvoir draguer qui il veut, ni porter ce qu’il veut. Plus il vieillit, plus il a l’impression qu’on l’ampute d’une partie de sa jeunesse.
• Et ça, c’est injuste. Les autres ont le droit d’avoir leur premier baiser et d’expérimenter, lui aussi il devrait pouvoir faire pareil.
• La peur le bride. Le garde en cage. Il est malheureux et frustré.
• Mais à 15 ans, il en a assez.
• La première personne à qui il fait son coming out, c’est Samuel. Qui le prend bien, parce qu’il s’en doutait un peu – et on s’en fout, non ? On est qui on veut, on choisit pas ça.
• Baptiste remercie son meilleur ami et l’éducation ouverte d’esprit que ses parents lui ont donné. Il en pleurerait de joie.
• D’ailleurs fuck toxic masculinity, il en pleure de joie. ALLEZ.
• Ensuite, il faut l’annoncer à ses parents. LA il a peur pour de vrai.
• Baptiste, c’est le bébé de ses parents. Ca, ça n’a pas changé. Il les adore, eux l’aiment plus que tout, et il n’a pas envie de les perdre – mais il n’a pas envie de leur mentir. Pas envie de faire semblant d’être quelqu’un d’autre en leur présence.
• Alors il leur dit. La boule de bowling à l’estomac, mais il le fait.
• Ses parents sont surpris, et pris au dépourvu. Ca se voit. Mais ils l’aiment trop pour le rejeter, et ils décident de l’accepter, lui et tous les autres trucs qu’ils n’ont pas forcément compris.
• Tant pis. Leur fils reste leur fils, peu importe qui il aime (ou comment il s’habille, se maquille, etc).
• Quand l’information passe par les oreilles de Magali et Fabien, en revanche…
C’est la guerre.
• Surtout du côté de Magali. Fabien s’en fiche d’avec qui il peut sortir ; une fille, un mec, une baleine, une chèvre… ça le concerne pas. You do you.
• Ses tenues extravagantes et son maquillage, par contre, c’est non. Il refuse de manger avec lui s’il n’est pas habillé normalement.
• Quant à Magali, elle a tout un sac d’insultes homophobes à lui vider dessus sans la moindre délicatesse ni retenue.
• Il serait soi-disant anormal, détraqué, contre-nature, et c’est sans parler de sa nouvelle façon de s’habiller ou de se maquiller.
• Comme quoi le maquillage c’est pour les femmes, qu’il était déjà tordu à 7 ans, etc etc.
• Franchement ? Baptiste n’aime pas Magali. Mais entendre ça, même de la bouche de sa sœur qu’on ne voit quasi pas, ben ça fait mal.
• Et ça le fait chier que ça lui fasse mal ou qu’il songe, même cinq secondes, à abandonner ce qui lui fait plaisir juste parce qu’on lui a dit que c’était bizarre.
• Fuck it. C’est pas parce que madame est pas contente qu’il va changer.  D’ailleurs, il va commencer à se fringuer comme il veut quand il veut et si quelqu’un trouve quelque chose à y redire, c’est leur problème.
• S’en suit une longue période durant laquelle Baptiste apprend à s’affirmer malgré l’adversité. On le maltraite à l’école, on le maltraite en dehors, mais il tient bon.
• Le fait que Samuel soit toujours de son côté n’y est pas pour rien. Il se sent coupable de mettre son meilleur ami sur le même banc que lui, mais ça n’embête pas Samuel.
• « Les vrais, c’est ceux qui restent »
• Ses parents le traitent toujours comme la huitième merveille du monde. Ca aide aussi.

• Baptiste survit au lycée et sort Bac en poche, prêt à faire la fête non-stop pendant une semaine pour célébrer ça comme il se doit.
• Et après un été de folie, direction les USA.
• Avec Samuel, bien entendu. Nos deux compères partent pour la Californie, histoire d’y suivre un cursus en audiovisuel.
• Ils sont conscients de la chance qu’ils ont de pouvoir faire des études à l’étranger, et hors de question de gâcher ça en ratant ses études. Ils partent avec l’intention de profiter de leur jeunesse, mais pas de foutre leur éducation en l’air.
• Alors ok, Baptiste met quelques semaines à trouver l’équilibre entre fêtes et révisions ; mais une fois que c’est fait, il THRIVE.
• Il tenait à faire ses études aux USA parce que le pays est plus grand et permissif que le sien. Là-bas, il peut s’exprimer comme il le veut sans difficulté.
• Des cons, il y en a toujours, mais on le regarde moins de travers. Ca l’aide à s’affirmer encore plus.
• A trouver un copain, expérimenter des trucs, agiter un drapeau arc-en-ciel.
• Sa famille lui manque mais c’est le seul point négatif. Il a 19 ans et la vie devant lui.
• Et quand il pousse la porte du manoir, il a toujours 19 ans, mais il n’est plus aussi sûr d’avoir toute sa vie devant lui.
Question de point de vue, right ?




Baptiste Tiemoko ▬ « Hungover, heart of gold, holy mess »  190918065452923223
     
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